Domaines de recherche biomedicales
Biow dispose d'un département biomédical dirigé par le Dr Enrique Caso, qui intègre les connaissances scientifiques dans le travail de Biow par le biais du projet de recherche Phoenix.
De même, l'efficacité de Biow à éliminer les nanoparticules, les virus, les champignons et les bactéries est confirmée et certifiée par les institutions et les laboratoires sanitaires européens les plus reconnus.
Biow affecte l'exposome humain
L'exposome est la totalité des expositions liées à notre environnement, à notre mode de vie et à notre réponse biologique qui affectent notre santé et notre maladie tout au long de notre vie.
“Biow modifie positivement l'exposome interne de chaque être humain et élimine la nanotoxicité cellulaire et extracellulaire”
Comment les nanoparticules dans l'environnement nous affectent-elles??
Le système respiratoire, en particulier les poumons, est souvent incapable de filtrer les nanoparticules telles que les poussières fines, car ces minuscules particules sont individuellement si petites qu'elles passent à travers tous les filtres de l'organisme. Ainsi, ils entrent directement dans la circulation sanguine, où ils sont transportés vers les organes et les cellules et s'y déposent. Cela peut conduire à une détérioration des performances de l'organisme avec de graves conséquences pour la santé.
Biow, grâce à sa technologie de filtration brevetée WSN10, est capable de filtrer ces nanoparticules nocives et de les éloigner de l'organisme. Notre organisme peut ainsi consacrer plus d'énergie à la régénération cellulaire et se concentrer sur d'autres fonctions essentielles telles que le maintien des défenses.
LE GROUPE DE RECHERCHE CROS
Le groupe de recherche CROS ("Cellular Response to Oxidative Stress"), dirigé par le Dr Ana Coto Montes, travaille actuellement avec Biow. Ils étudient comment Biow peut réduire le stress oxydatif et l'inflammation organique au niveau cellulaire et systémique. Le potentiel de Biow à augmenter la production d'énergie mitochondriale et à régénérer l'ATP est également mis en avant. Les premières données suggèrent que la production d'énergie dans nos cellules augmente lorsque nous passons régulièrement de longues périodes dans un environnement biologique, par exemple pendant le sommeil ou le travail.